tula-mama-tula

Karibu!!! Invitation au partage, à une mise en question, à un échange, à une écoute, à une lecture plus approfondie des réalités qui nous entourent,à un enrichissement, et à tant et tant encore. Karibu. Je me réjouis de partager tout ça avec vous!!!! Rafiki

Friday, January 30, 2009

INDIGNATION SELECTIVE....

SANS PHOTO'S
( nous en découvrons déjà trop )...

Et voilà une position courageuse mettant en question la plupart des péroquets mondiaux sur un homme politique .... "diabolisé"....

60ème anniversaire de la Déclaration Universelle des Droit de l'Homme

Robert mugabe
L'insoumis et le bouc émissaire.

par Aminata D Traore, Ancienne ministre, Essayiste, Animatrice du Forum pour un Autre Mali (FORAM)


"Il n'est pas certain que l'extrême personnalisation du conflit et la diabolisation de l'un des principaux protagonistes - Robert Mugabé en l'occurrence – ait aidé en quoi que ce soit à clarifier les enjeux de la lutte sociale et politique en cours au Zimbabwe".
Achille Mbembe (Zimbabwe : le cynisme des nations)



1. QUI JUGE QUI ? POUR QUELS CRIMES ?
Le torrent de boue dont on couvre Robert Mugabé depuis de longs mois a quelque chose de nauséabond et de suspect. J'en souffre.

"Qui le juge ? De quels crimes est-il coupable ?" sont parmi les questions que nous sommes nombreux à nous demander, ce 10 décembre 2008, à l'occasion du 60ème anniversaire de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme (DUDH).

"A 85 ans, pourquoi s'accroche-il tant au pouvoir ?" entendons nous dire. Est-ce une raison suffisante pour l'humilier ? Est-il le seul de cette génération, à occuper ce poste a un tel âge ?

"Il est au pouvoir depuis 28 ans." En termes de longévité au pouvoir est-il le doyen en Afrique ?

"La fraude électorale ?" A-t-on oublié les élections américaines de 2000?

Rares sont ceux qui, en dehors du continent, se doutent des enjeux véritables de cette campagne de dénigrement et de déstabilisation d'une rare violence contre cet homme tant le titre de dictateur sied aux dirigeants du Sud, plus particulièrement ceux du Continent noir. Il suffit de regarder du côté de la Cour Pénale Internationale pour s'en convaincre. Pendant ce temps les fauteurs de guerre en Irak et en Afghanistan se posent en défenseurs des droits de l'homme au Zimbabwe et partout ailleurs.

Puisqu'ils ne sont pas à une contradiction près, les puissants de ce monde élèvent par ailleurs des murs devant ceux dont ils prétendent défendre les droits lorsque ceux-ci tentent d'échapper aux effets destructeurs du capitalisme mondialisé. Le pacte européen sur l'immigration et l'asile dont la France a fait de l'adoption une priorité dans le cadre de sa présidence de l'Union Européenne est l'une des traductions de ce cynisme.


2. L'INDIGNATION SELECTIVE
L'indignation et la justice à géométrie variable qui jettent le discrédit sur les droits de l'homme tournent au scandale lorsque George W Bush se joint à Gordon Brown et Nicolas Sarkozy pour exiger la démission de Robert Mugabé, responsable selon eux des 600 personnes victimes du choléra. Toute perte de vie humaine est un drame. Mais alors, que dire des guerres en Irak et en Afghanistan qui ont fait près d'un million et demi de morts ?

Robert Mugabe aurait ruiné son pays dont l'économie était florissante et violé les droits des Zimbabwéens. En huit années d'une gestion calamiteuse George W Bush, a fait pire en conduisant l'économie la plus puissante de la planète au bord du gouffre avec des conséquences dramatiques et pour son pays et pour le reste du monde : accroissement du chômage, pertes de revenus, tensions sociales et violences en tout genre.

Que fait et que compte faire la fameuse communauté internationale dont George W Bush et ses alliés se réclament face au drame de l'Irak puisqu'il a enfin admis qu'il a commis une "erreur" tout en se défaussant sur des services de renseignements qui lui auraient présenté Saddam Hussein comme une menace pour les USA ? Ce mea-culpa tardif n'incite, visiblement, ni le Président américain, ni le Premier ministre britannique a changer de regard et de perspectives quant au Zimbabwe. Le départ de Robert Mugabé, le Saddam Hussein de Tony Blair, est une obsession. Et, tant mieux, si la faim, le chômage, la maladie et la fuite des Zimbabwéens, provoqués par des années d'isolement et de sanctions économiques, peuvent être instrumentalisés en vue d'atteindre cet objectif. Un tel acharnement participe, bel et bien, à la criminalisation, la traque et l'élimination de la "racaille" dans les banlieues du monde globalisé.

Ainsi va le monde, soixante ans après la déclaration universelle des Droits de l'Homme (DUDH). Le "plus jamais ça" est parfaitement valable pour les "civilisés" qui évitent la guerre chez eux et se serrent les coudes dans la mise au pas des "barbares". Pillée et humiliée l'Afrique se doit de tirer le maximum d'enseignements de cette réalité en apprenant à distinguer les conséquences des actes de sabotage économique et de déstabilisation des dirigeants qui osent dire "non" de la mauvaise gestion que les démocraties occidentales savent, du reste, pardonner tant que leurs intérêts ne sont pas menaces


3. L'ASPHYXIE ECONOMIQUE
Pèle mêle, les ennemis de Robert Mugabe retiennent, contre lui, en plus de l'expropriation des fermiers blancs des terres agricoles, l'hyperinflation qui chasse les élites (médecins, avocats, enseignants, journalistes…) du pays, l'opération de déguerpissement des mal logés en 2005, la fuite de plus de trois millions zimbabwéens vers l'Angleterre et l'Afrique du Sud, la répression des opposants, le pourcentage élevé de personnes atteintes du SIDA, la faim et, à présent, l'épidémie de choléra.

Mais, la quasi-totalité des situations imputées à l'incapacité du dirigeant zimbabwéen à gérer son pays résulte d'abord du non respect d'engagements pris, l'une des caractéristiques de nos rapports avec les pays riches comme l'atteste, plus récemment, les fausses promesses d'aide du Sommet de Gleneagles. L'argent qui coule à flot ces derniers temps dans le cadre du sauvetage des banques a toujours fait défaut quand il s'agit d'honorer les engagements pris envers les peuples dominés. Le facteur déclencheur de la crise zimbabwéenne est plus précisément le non respect par la Grande Bretagne de l'accord de Lancaster House (signé en 1979) selon lequel elle devait dédommager les fermiers blancs dans le cadre de la réforme agraire.

La terre, - un enjeu central dans toutes les sociétés dont l'économie repose sur l'agriculture - est donc au cœur de la rupture. C'est en cela que le bras de fer entre l'ex Rhodésie du Sud et l'ancienne puissance coloniale est emblématique des tensions en Afrique Australe et des conflits à venir à l'échelle du Continent puisque l'ouverture au marché rime de plus en plus avec l'octroi de centaines de milliers d'hectares aux investisseurs étrangers au détriment des petits producteurs.

L'économie zimbabwéenne était florissante et Robert Mugabé fréquentable tant que la minorité de fermiers blancs d'origine britannique pouvaient faire travailler des centaines de milliers d'ouvriers agricoles noirs sur les millions d'hectares de terres agricoles qui étaient en leur possession. Le héros de l'indépendance, est devenu l'homme à abattre à partir du moment où face au refus de Tony Blair de respecter les termes de l'accord de Lancaster House, il a dû récupérer les terres des fermiers blancs. Tout a depuis lors été dit à propos de la redistribution de ces terres qui n'aurait profité qu'aux proches de Robert Mugabé. La réalité est toute autre. Des milliers de familles sans terre jouissent aujourd'hui de leur droit à ce moyen de production. L'irrigation, les fertilisants, les prêts et la mécanisation sont autant d'efforts fournis dans le cadre de cette réforme agraire,avec les maigres moyens de l'Etat la priorité étant la couverture des besoins nationaux par l'agriculture nationale.

L'Europe, l'Amérique du Nord, l'Australie, la Nouvelle Zélande ont réagi dès la première procédure de retrait des terres, en 1997. Le dollar zimbabwéen a commencé à chuter et les sanctions économiques à pleuvoir : privation du pays de toute aide extérieure, de crédit, d'assistance de la part des institutions financières internationales et l'interdiction d'échanges commerciaux avec les entreprises américaines. Le pays de Robert Mugabé n'a bénéficié d'aucune aide en matière de balance des paiements depuis 1994 alors que jamais auparavant, il n'avait été privé d'apports extérieurs. Il a fallu, faute de prêts assortis de conditions favorables procéder à des émissions monétaires.

L'ingérence et la subversion à la base consistent dans ces circonstances à créer la pénurie en privant l'Etat souverain de moyens et à soutenir des ONG et des opposants politiques qui s'attirent la sympathie des populations auprès desquelles ils interviennent

Les conséquences de l'embargo et des sanctions économiques ont été aggravés par des sécheresses autrefois cycliques (à peu près tous les dix ans) mais désormais fréquentes du fait des perturbations climatiques.



4. L'ALIBI DEMOCRATIQUE
La Grande Bretagne prendrait une sacrée revanche sur l'histoire et rendrait un immense service aux fermiers blancs qui attendent, si elle parvenait à porter au pouvoir dans son ancienne colonie, un dirigeant de son choix ou tout au mois acquis au libéralisme économique.

Au-delà de la Grande Bretagne, les puissances coloniales et leurs alliés n'ont jamais eu autant besoin de renforcer leur présence en Afrique, l'avancée de la Chine étant une véritable menace pour eux. Ils y arrivent au prix de l'ingérence, de la subversion et de la guerre. C'est dire jusqu'à quel point le fossé est abyssal entre la rhétorique sur la démocratie, les droits de l'homme et les desseins des Etats libéraux d'Europe et d'Amérique sur le Continent noir

Le débat houleux qui pendant longtemps a opposé les Occidentaux aux dirigeants des pays d'Asie dont la Chine quant à la primauté des droits économiques et sociaux sur les droits politiques ressurgit ainsi à la faveur de la mondialisation néolibérale sans être pris en charge de manière conséquente par les formations politiques africaines, la société civile et les médias. Il en est ainsi parce que les dirigeants africains savent que leurs pays seraient dans le même piteux état que le Zimbabwe s'ils s'avisaient, à l'instar de Robert Mugabe, à aller à l'encontre des intérêts dominants. La politique de la terre brûlée est réservée, comme ce fut également le cas pour la Guinée de Sékou Touré, à tous ceux qui s'écartent du "droit chemin".

Pour l'heure, en dépit du satisfecit des Occidentaux pour certaines "transitions démocratiques", le vote ne sert qu'au renouvellement du personnel local du système-monde. Les électeurs locaux en deviennent, à leur propre insu des clients de la politique spectacle et les victimes des rapports marchands qui lui sont sous-jacents. Les sujets qui peuvent écorcher les oreilles du G8, de l'UE et les IFIS tel que le pillage des matières premières de l'Afrique, le diktat des grandes puissances, la dette extérieure, les réformes néolibérales sont soigneusement écartés du débat électoral quand débat il y a. Et gare aux esprits critiques (opposants, médias, citoyens avisés…) qui osent défier les dirigeants dirigés dans leurs comportements mimétiques et complaisants. Ils sont combattus, de manière sournoise ou ouverte. Par contre, les faux opposants, les médias aux ordres, les associations et ONG qui savent manier la langue de bois seront épargnés, récompensés et utilisés pour soigner l'image du pays.



5. NOUS SOMMES TOUS ZIMBABWEENS
Rien ne justifie l'humiliation de Robert Mugabé et les privations imposées à son peuple afin qu'il se soulève et le renverse. Il n'est pas paranoïaque puisque Gordon Brown et ses alliés après avoir poussé Morgan Tsvangiraï marchent à présent à visage découvert et sans complexe, lui demandant de démissionner. Nommer et défier ses agresseurs n'a rien à voir avec la haine des Occidentaux véhiculée par certains médias qui excellent dans le lavage des cerveaux quant a Robert Mugabe. Précisément parce qu'il se savait le dirigeant d'un pays composé de Blancs et de Noirs il a tenté de les fédérer en nommant des ministres zimbabwéens d'origine britannique dans gouvernement

Robert Mugabé n'est en aucun cas ce bourreau qui affame son peuple et le condamne à mourir du cholera et de je ne sais pas quelle autre maladie. Les quinze années durant lesquelles il avait les mains libres il a réussi à réaliser le taux d'éducation le plus élevé du continent en plus des performances économiques enregistrées. On ne peut lui reprocher non plus de s'être enrichi personnellement; à l'instar de la plupart de ses homologues même si certains excès son reprochés à son épouse.

La persécution dont il est l'objet augure en réalité des difficultés à venir chaque fois qu'un dirigeant africain voudra se démarquer de la pensée unique en revendiquant la souveraineté économique, politique et alimentaire. Nous serons faibles et vulnérables tant que, face a une telle situation les peuples conscients des enjeux et des dangereux rouages du monde actuel ne prendront pas leurs destins en mains et ne défieront pas eux-mêmes leurs dirigeants mais aussi l Union Européenne, les IFIs les anciennes puissances coloniales en quête de lieux d'ancrage ; de matières premières et de parts de marches

Nous sommes tous des Zimbabwéens face au défi de la nouvelle citoyenneté qui fera de nous les seuls et véritables responsables de l'alternance politique dans nos pays et de la défense de tous nos droits.

Bamako le, 10 décembre 2008

Monday, January 26, 2009


THIS IS WHAT LOVE IS ALL ABOUT!

It was a busy morning, about 8:30, when an elderly
gentleman in his 80's, arrived to have stitches removed from his thumb.
He said he was in a hurry as he had an appointment at 9:00 am.

I took his vital signs and had him take a seat, knowing it would be
over an hour before someone would to able to see him. I saw him looking
at his watch and decided, since I was not busy with another patient, I
would evaluate his wound.

On exam, it was well healed, so I talked to one of the doctors, got the
needed supplies to remove his sutures and redress his wound.

While taking care of his wound, I asked him if he had another doctor's
appointment this morning, as he was in such a hurry. The gentleman
told me no, that he needed to go to the nursing home to eat breakfast
with his wife.

I inquired as to her health. He told me that she had been there
for a while and that she was a victim of Alzheimer's Disease. As we
talked, I asked if she would be upset if he was a bit late. He replied
that she no longer knew who he was, that she had not recognized him in
five years now.

I was surprised, and asked him, "And you still go every morning, even
though she doesn't know who you are?"

He smiled as he patted my hand and said, "She doesn't know me, but I
still know who she is."

I had to hold back tears as he left, I had goose bumps on my arm, and
thought, "That is the kind of love I want in my life."

True love is neither physical, nor romantic. True love is an
acceptance of all that is, has been, will be, and will not be.

Thursday, January 15, 2009


20 janvier 2008- discours du nouveau président des Etats Unis

suivi par une lettre à ses filles....
"My fellow citizens, I stand here today humbled by the task before us, grateful for the trust you have bestowed, mindful of the sacrifices borne by our ancestors. I thank President Bush for his service to our nation, as well as the generosity and cooperation he has shown throughout this transition.

Forty-four Americans have now taken the presidential oath. The words have been spoken during rising tides of prosperity and the still waters of peace. Yet, every so often the oath is taken amidst gathering clouds and raging storms.

At these moments, America has carried on not simply because of the skill or vision of those in high office, but because we the people have remained faithful to the ideals of our forebears, and true to our founding documents. So it has been. So it must be with this generation of Americans.

That we are in the midst of crisis is now well understood. Our nation is at war, against a far-reaching network of violence and hatred. Our economy is badly weakened, a consequence of greed and irresponsibility on the part of some, but also our collective failure to make hard choices and prepare the nation for a new age.

Homes have been lost; jobs shed; businesses shuttered. Our health care is too costly; our schools fail too many; and each day brings further evidence that the ways we use energy strengthen our adversaries and threaten our planet.

These are the indicators of crisis, subject to data and statistics. Less measurable but no less profound is a sapping of confidence across our land - a nagging fear that America's decline is inevitable, and that the next generation must lower its sights.

Today I say to you that the challenges we face are real. They are serious and they are many. They will not be met easily or in a short span of time. But know this, America - they will be met.

On this day, we gather because we have chosen hope over fear, unity of purpose over conflict and discord.

On this day, we come to proclaim an end to the petty grievances and false promises, the recriminations and worn out dogmas, that for far too long have strangled our politics.

We remain a young nation, but in the words of scripture, the time has come to set aside childish things. The time has come to reaffirm our enduring spirit; to choose our better history; to carry forward that precious gift, that noble idea, passed on from generation to generation: the God-given promise that all are equal, all are free and all deserve a chance to pursue their full measure of happiness.

In reaffirming the greatness of our nation, we understand that greatness is never a given. It must be earned. Our journey has never been one of shortcuts or settling for less.

It has not been the path for the faint-hearted - for those who prefer leisure over work, or seek only the pleasures of riches and fame. Rather, it has been the risk-takers, the doers, the makers of things - some celebrated but more often men and women obscure in their labour, who have carried us up the long, rugged path towards prosperity and freedom.

For us, they packed up their few worldly possessions and travelled across oceans in search of a new life.

For us, they toiled in sweatshops and settled the West; endured the lash of the whip and ploughed the hard earth.

For us, they fought and died, in places like Concord and Gettysburg; Normandy and Khe Sahn.

Time and again these men and women struggled and sacrificed and worked till their hands were raw so that we might live a better life. They saw America as bigger than the sum of our individual ambitions; greater than all the differences of birth or wealth or faction.

This is the journey we continue today. We remain the most prosperous, powerful nation on Earth. Our workers are no less productive than when this crisis began. Our minds are no less inventive, our goods and services no less needed than they were last week or last month or last year.

Our capacity remains undiminished. But our time of standing pat, of protecting narrow interests and putting off unpleasant decisions - that time has surely passed. Starting today, we must pick ourselves up, dust ourselves off, and begin again the work of remaking America.

For everywhere we look, there is work to be done. The state of the economy calls for action, bold and swift, and we will act - not only to create new jobs, but to lay a new foundation for growth.

We will build the roads and bridges, the electric grids and digital lines that feed our commerce and bind us together. We will restore science to its rightful place, and wield technology's wonders to raise health care's quality and lower its cost. We will harness the sun and the winds and the soil to fuel our cars and run our factories. And we will transform our schools and colleges and universities to meet the demands of a new age. All this we can do. And all this we will do.

Now, there are some who question the scale of our ambitions - who suggest that our system cannot tolerate too many big plans. Their memories are short. For they have forgotten what this country has already done; what free men and women can achieve when imagination is joined to common purpose, and necessity to courage.

What the cynics fail to understand is that the ground has shifted beneath them - that the stale political arguments that have consumed us for so long no longer apply. The question we ask today is not whether our government is too big or too small, but whether it works - whether it helps families find jobs at a decent wage, care they can afford, a retirement that is dignified.

Where the answer is yes, we intend to move forward. Where the answer is no, programs will end. And those of us who manage the public's dollars will be held to account - to spend wisely, reform bad habits, and do our business in the light of day - because only then can we restore the vital trust between a people and their government.

Nor is the question before us whether the market is a force for good or ill. Its power to generate wealth and expand freedom is unmatched, but this crisis has reminded us that without a watchful eye, the market can spin out of control - and that a nation cannot prosper long when it favours only the prosperous.

The success of our economy has always depended not just on the size of our gross domestic product, but on the reach of our prosperity; on our ability to extend opportunity to every willing heart - not out of charity, but because it is the surest route to our common good.

As for our common defence, we reject as false the choice between our safety and our ideals. Our founding fathers, faced with perils we can scarcely imagine, drafted a charter to assure the rule of law and the rights of man, a charter expanded by the blood of generations.

Those ideals still light the world, and we will not give them up for expedience's sake. And so to all other peoples and governments who are watching today, from the grandest capitals to the small village where my father was born: know that America is a friend of each nation and every man, woman, and child who seeks a future of peace and dignity, and that we are ready to lead once more.

Recall that earlier generations faced down fascism and communism not just with missiles and tanks, but with sturdy alliances and enduring convictions. They understood that our power alone cannot protect us, nor does it entitle us to do as we please.

Instead, they knew that our power grows through its prudent use; our security emanates from the justness of our cause, the force of our example, the tempering qualities of humility and restraint.

We are the keepers of this legacy. Guided by these principles once more, we can meet those new threats that demand even greater effort - even greater cooperation and understanding between nations. We will begin to responsibly leave Iraq to its people, and forge a hard-earned peace in Afghanistan .

With old friends and former foes, we will work tirelessly to lessen the nuclear threat, and roll back the spectre of a warming planet. We will not apologize for our way of life, nor will we waver in its defence, and for those who seek to advance their aims by inducing terror and slaughtering innocents, we say to you now that our spirit is stronger and cannot be broken; you cannot outlast us, and we will defeat you.

For we know that our patchwork heritage is a strength, not a weakness. We are a nation of Christians and Muslims, Jews and Hindus - and non-believers. We are shaped by every language and culture, drawn from every end of this Earth; and because we have tasted the bitter swill of civil war and segregation, and emerged from that dark chapter stronger and more united, we cannot help but believe that the old hatreds shall someday pass; that the lines of tribe shall soon dissolve; that as the world grows smaller, our common humanity shall reveal itself; and that America must play its role in ushering in a new era of peace.

To the Muslim world, we seek a new way forward, based on mutual interest and mutual respect. To those leaders around the globe who seek to sow conflict, or blame their society's ills on the West - know that your people will judge you on what you can build, not what you destroy. To those who cling to power through corruption and deceit and the silencing of dissent, know that you are on the wrong side of history; but that we will extend a hand if you are willing to unclench your fist.

To the people of poor nations, we pledge to work alongside you to make your farms flourish and let clean waters flow; to nourish starved bodies and feed hungry minds. And to those nations like ours that enjoy relative plenty, we say we can no longer afford indifference to suffering outside our borders; nor can we consume the world's resources without regard to effect. For the world has changed, and we must change with it.

As we consider the road that unfolds before us, we remember with humble gratitude those brave Americans who, at this very hour, patrol far-off deserts and distant mountains. They have something to tell us today, just as the fallen heroes who lie in Arlington whisper through the ages.

We honour them not only because they are guardians of our liberty, but because they embody the spirit of service; a willingness to find meaning in something greater than themselves. And yet, at this moment - a moment that will define a generation - it is precisely this spirit that must inhabit us all.

For as much as government can do and must do, it is ultimately the faith and determination of the American people upon which this nation relies. It is the kindness to take in a stranger when the levees break, the selflessness of workers who would rather cut their hours than see a friend lose their job which sees us through our darkest hours. It is the firefighter's courage to storm a stairway filled with smoke, but also a parent's willingness to nurture a child, that finally decides our fate.

Our challenges may be new. The instruments with which we meet them may be new. But those values upon which our success depends - hard work and honesty, courage and fair play, tolerance and curiosity, loyalty and patriotism - these things are old. These things are true. They have been the quiet force of progress throughout our history.

What is demanded then is a return to these truths. What is required of us now is a new era of responsibility - a recognition, on the part of every American, that we have duties to ourselves, our nation, and the world, duties that we do not grudgingly accept but rather seize gladly, firm in the knowledge that there is nothing so satisfying to the spirit, so defining of our character, than giving our all to a difficult task.

This is the price and the promise of citizenship.

This is the source of our confidence - the knowledge that God calls on us to shape an uncertain destiny.

This is the meaning of our liberty and our creed - why men and women and children of every race and every faith can join in celebration across this magnificent mall, and why a man whose father less than sixty years ago might not have been served at a local restaurant can now stand before you to take a most sacred oath.

So let us mark this day with remembrance, of who we are and how far we have travelled. In the year of America's birth, in the coldest of months, a small band of patriots huddled by dying campfires on the shores of an icy river. The capital was abandoned. The enemy was advancing.

The snow was stained with blood. At a moment when the outcome of our revolution was most in doubt, the father of our nation ordered these words be read to the people: "Let it be told to the future world ... that in the depth of winter, when nothing but hope and virtue could survive...that the city and the country, alarmed at one common danger, came forth to meet (it)."

America, in the face of our common dangers, in this winter of our hardship, let us remember these timeless words. With hope and virtue, let us brave once more the icy currents, and endure what storms may come.

Let it be said by our children's children that when we were tested we refused to let this journey end, that we did not turn back nor did we falter; and with eyes fixed on the horizon and God's grace upon us, we carried forth that great gift of freedom and delivered it safely to future generations.

Thank you, God bless you and God Bless the United States of America."



In a letter to his kids published on Wednesday by Parade magazine, the doting father says his inspiration to run came from them - from his wish to secure their future and that of other children in America.


"I know that you have both had a lot of fun these last two years on the campaign trail, going to picnics and parades and state fairs, eating all sorts of junk food your mother and I probably should not have let you have.

"But I also know that it has not always been easy for you and Mom, and that as excited as you both are about that new puppy, it does not make up for all the time we have been apart. I know how much I've missed these past two years, and today I want to tell you a little more about why I decided to take our family on this journey.


"When I was a young man, I thought life was all about me - about how I'd make my way in the world, become successful, and get the things I want. But then the two of you came into my world with all your curiosity and mischief and those smiles that never fail to fill my heart and light up my day.


"And suddenly, all my big plans for myself did not seem so important anymore. I soon found that the greatest joy in my life was the joy I saw in yours. And I realized that my own life would not count for much unless I was able to ensure that you had every opportunity for happiness and fulfilment in yours. In the end, girls, that's why I ran for President: because of what I want for you and for every child in this nation."

"When I was a young man, I thought life was all about me -- about how I'd make my way in the world, become successful, and get the things I want. But then the two of you came into my world," Obama said in the letter published in Parade magazine, a weekend newspaper color supplement.

"I realized that my own life wouldn't count for much unless I was able to ensure that you had every opportunity for happiness and fulfilment in yours. In the end, girls, that's why I ran for President: because of what I want for you and for every child in this nation," wrote the soon-to-be Dad-in-chief.

Obama's wish-list for children includes challenging and inspirational schools; equal opportunity to go to university, regardless of their family's financial standing; and well-paid jobs with benefits such as health care and a pension plan that will allow them to "retire with dignity."

The 47-year-old father of Malia, 10, and Sasha, 7, said he wants to "push the boundaries" of discovery to encourage the development of new technology and inventions that improve lives and protect the environment.

And he spoke of his vision of a United States that has reached "beyond the divides of race and region, gender and religion that keep us from seeing the best in each other."

He would strive to send young Americans to war "only for a very good reason", trying first to settle differences with other nations peacefully.

"These are the things I want for you -- to grow up in a world with no limits on your dreams and no achievements beyond your reach, and to grow into compassionate, committed women who will help build that world," wrote Obama.

"And I want every child to have the same chances to learn and dream and grow and thrive that you girls have. That's why I've taken our family on this great adventure," wrote Obama, ....

"I hope both of you will take up that work, righting the wrongs that you see and working to give others the chances you have had. Not just because you have an obligation to give something back to this country that has given our family so much - although you do have that obligation. But because you have an obligation to yourself. Because it is only when you hitch your wagon to something larger than yourself that you will realize your true potential.

"I am so proud of both of you. I love you more than you can ever know. And I am grateful every day for your patience, poise, grace, and humour as we prepare to start our new life together in the White House.

Tuesday, January 13, 2009


Chers amis,

Que tous ceux et celles qui ne sont pas encore au courant de la création de la première université populaire africaine en Europe , se rendent à Genève en Suisse le 20,21 et 22 février 2009 ou s'informent auprès de

UNIVERSITE POPULAIRE AFRICAINE EN SUISSE (UPAF.CH)
Maison des Associations - Rue des Savoises 15, CH-1205 GENEVE (Suisse) - upaf.suisse@gmail.com



Le président nous adresse ses mots d'invitation....

Première expérience du genre dans toute la Suisse et en Europe,
l’Université populaire africaine (UPAF) sera, à Genève :
 un centre de valorisation des compétences africaines et de
transmission de savoirs, notamment entre générations
 un espace de rencontres, d’échanges et de co-intégration
entre Suisses et personnes d’origines africaine et autre
 un lieu au service de l’intégration des migrant-e-s africain-e-s
Vous êtes chaleureusement invité-e à venir rehausser de votre
présence et à ne pas manquer ce moment historique exceptionnel
de la présence africaine en Suisse, placé sous le signe de la diversité,
en compagnie d’invité-e-s de marque de Suisse, d’Europe et d’Afrique.
Votre soutien, concret, multiforme, nous est également indispensable !
Anatole Tshizubu Malu
Président

UNIVERSITE POPULAIRE AFRICAINE EN SUISSE (UPAF.CH)

Maison des Associations - Rue des Savoises 15, CH-1205 GENEVE (Suisse) - upaf.suisse@gmail.com
PostFinance : CCP 10-213984-9 - IBAN CH02 0900 0000 1021 3984 9 - BIC POFICHBEXXX

PROGRAMME DE L’INAUGURATION *

EN PREAMBULE : Samedi 14.02.2009 - dès 20h00
Salle du Faubourg, rue des Terreaux-du-Temple 6-8, Genève
« AFRO MUSIC LOVERS »
GRAND BAL DE SOUTIEN A L’UPAF
Tous les bénéfices seront versés à l’UPAF pour contribuer à son lancement
Vendredi 20.02.2009


1. COURS INAUGURAL - 14h00 à 16h30
Valeurs et identité africaines face à la modernité : un enjeu pour les sociétés
africaines mondialisées et pour les politiques d’intégration en Europe
Par Mme Aminata Traoré (Mali), ancienne Ministre de la Culture (ss réserve)
2. CÉRÉMONIE OFFICIELLE - 17h30 à 23h30
 Accueil des invité-e-s
 Discours du Président de l’UPAF, M. Anatole Tshizubu Malu
 Mot des Représentants officiels GE (Etat, Ville, Commune Meyrin)
 Mot des Représentants officiels africains (ambassades, ONG, etc.)
 Mot de l’Invitée d’honneur, Mme veuve J. Ki-Zerbo (Burkina Faso)
 Présentation-Vernissage des expositions
 Cocktail
 Performances musicales, théâtrales, danses, etc.
Vendredi 20 (14h00-23h30) et Samedi 21.2.2009 (9h00-23h30)
Maison des Associations, rue des Savoises 15, Genève-Plainpalais
EN PERMANENCE :
- Exposition de photos sur l’Afrique (RDC, Somalie …)
- Exposition d’art plastique africain (artistes africains locaux)
- Stands des services officiels et des associations
- Stands de livres et documentation sur l’Afrique et la Diaspora
* Programme complet : 1er février 2009 - Infos : 022 343 87 93, 079 754 54 85
Samedi 21.02.2009
Maison des Associations, rue des Savoises 15, Genève-Plainpalais
1. COLLOQUE - PALABRE - 9h00 à 17h30
« Les Africains en Suisse et à Genève : de hier à demain »
9h00 à 13h00
Exposés introductifs
 Suisses en Afrique : M. Jacques-Simon Eggly, Président des Suisses
de l’étranger
 Africains en Suisse : Dr. Mutombo Kanyana, Directeur de l’UPAF
Exposés thématiques
 Immigration et Intégration : M. CM. Eya Nchama, Conseiller municipal
 Familles, administration et justice : M. Elangi Botoy, juriste
 Jeunes et défis : Mlle Flore Agnès Ndazoa, avocate (ss réserve)
 Hommes/Femmes en politique : M. Alpha Drame, Conseiller municipal
14h30 à 17h30
Tables-rondes : sur les 4 thèmes du matin, en parallèle
Restitution/Synthèse des table-rondes
2. SOIRÉE CULTURELLE ET CONVIVIALE - 18h00 à 23h30
 Gastronomies de la diversité : Maroc, Sénégal, Somalie, RDC, etc.
 Spectacles alternants : danse (traditionnel, Hip Hop, etc.), Concerts
acoustiques (ethnique, ethno-jazz, Slam, Hip Hop, etc.), défilé de
costumes typiques (Somalie, Tunisie, Rwanda, etc.), etc.

Dimanche 22.02.2009
Espace 99, rue de Lyon 99, Genève-Charmilles
JOURNEE DES JEUNES - 14h00 à 18h00
 Atelier Contes avec Tiémoko Traoré (Burkina Faso), Genève
 Atelier d’expression artistique avec Momar Seck (Sénégal), Genève
 Atelier Danse Hip Hop avec Hip Hop Academy, Genève
 Atelier Slam avec Collectif Chant d’Encre (Paris) et Slameurs

Et au retour, racontez-moi vos expériences..... Je meurs d'impatience à vous entendre.....

Thursday, January 08, 2009





LES DROITS DE L'HOMME SONT MORTS A GAZA
mages provenant de
*http://www.elmandjra.org/Non-violence%20israelienne%20Gaza120806.jpg
*http://www.elmandjra.org/Non-violence%20israelienne%20Gaza120806.jpg

Retenez bien cette date : samedi 27 décembre 2008, 11h30 du matin,heure du
Proche-Orient.

Ce jour-là, les Droits de l'Homme sont morts.
REACTIONS

D'UN JUIF EN COLÈRE
mercredi 14 janvier 2009


Monsieur l'Ambassadeur d'Israel en France,

Pour vous c'est shabat, qui devait être un jour de paix mais qui est
celui de la guerre. Pour moi, depuis plusieurs années, la colonisation
et le vol israélien des terres palestiniennes m'exaspère. Je vous
écris donc à plusieurs titres : comme Français, comme Juif de
naissance et comme artisan des accords entre l'Université de Nice et
celle de Haïfa.

Il n'est plus possible de se taire devant la politique d'assassinats
et d'expansion impérialiste d'Israël. Vous vous conduisez exactement
comme Hitler s'est conduit en Europe avec l'Autriche et la
Tchécoslovaquie .Vous méprisez les résolutions de l'ONU comme lui
celles de la SDN et vous assassinez impunément des femmes, des enfants
; n'invoquez pas les attentats, l'Intifada. Tout cela résulte de la
colonisation ILLEGITIME et ILLEGALE QUI EST UN VOL. Vous vous
conduisez comme des voleurs de terres et vous tournez le dos aux
règles de la morale juive. Honte à vous : Honte à Israël ! Vous
creusez votre tombe sans vous en rendre compte. Car vous êtes
condamnés à vivre avec les Palestiniens et les états arabes. Si vous
manquez de cette intelligence politique, alors vous êtes indignes de
faire de la politique et vos dirigeants devraient prendre leur
retraite. Un pays qui assassine Rabin, qui glorifie son assassin est
un pays sans morale et sans honneur. Que le ciel et que votre Dieu
mette à mort Sharon l'assassin. Vous avez subi une défaite au Liban en
2006.Vous en subirez d'autres, j'espère, et vous allez envoyer à la
mort de jeunes Israéliens parce que vous n'avez pas le courage de
faire la paix.

Comment les Juifs qui ont tant souffert peuvent ils imiter leurs
bourreaux hitlériens ? Pour moi, depuis 1975, la colonisation me
rappelle de vieux souvenirs, ceux de l'hitlérisme .Je ne vois pas de
différence entre vos dirigeants et ceux de l'Allemagne nazie ?
Personnellement, je vous combattrai de toutes mes forces comme je l'ai
fait entre 1938 et 1945 jusqu'à ce que la justice des hommes détruise
l'hitlérisme qui est au cœur de votre pays. Honte à Israël. J'espère
que votre Dieu lancera contre ses dirigeants la vengeance qu'ils
méritent. J'ai honte comme Juif, ancien combattant de la 2ème guerre
mondiale, pour vous. Que votre Dieu vous maudisse jusqu'à la fin des
siècles ! J'espère que vous serez punis..

André Nouschi

Professeur honoraire de l'Université de Nice


D'UN ECRIVAIN ANTILLAIS

Ce jour-là, ils ont été enterrés définitivement sous la chape de «
Plomb durci »
de l'agression israélienne contre la minuscule bande de Gaza où sont
parqués
depuis 60 ans une partie du peuple de Palestine.

Ils ont été pulvérisés sous un déluge de feu, de bombardements, de
missiles, par
terre, mer et air, déluge qui n'a fait aucune distinction entre
bâtiments
publics, hôpitaux, écoles, mosquées, ambulances ou convois humanitaires
de
l'ONU.

Etalage sans précédent de barbarie qui se poursuit depuis bientôt trois
semaines
grâce à la complicité des gouvernements occidentaux et à la passivité
de régimes
arabes corrompus.

Femmes et enfants éventrés par les DIME, ces armes étasuniennes
ultrasophistiquées qui déchiquètent le corps humain, empêchant toute
opération
chirurgicale, ambulances attaquées à l'hélicoptère « Apache », écoles
de l'ONU
froidement explosées, tout cela laisse de marbre les intellectuels
occidentaux
si prompts à pontifier sur la démocratie, l'universalité, le respect de
la
personne humaine et les Droits de l'homme. De même que leurs
négros-larbins de
SOS-Racisme, du Haut Conseil à l'Intégration ou du Secrétariat aux
Droits de
l'Homme. Silence à tous les étages !

Les Droits de l'homme sont morts à Gaza le samedi 27 décembre à 11h30.

Ne venez plus jamais, mesdames et messieurs du Quartier Latin,
d'Oxford, de
Greenwich Village ou de Yale, ne venez plus jamais nous en parler !

Plus jamais !

Nous n'avons que faire désormais de vos leçons hypocrites, de votre
double
langage, de votre haine rentrée pour tout ce qui ne se plie pas à la
logique
impérialiste occidentale !

Nous n'avons que faire de vos admonestations à géométrie variable, de
vos
exhortations, de vos « French doctors » de merde, de votre ONU, chambre
d'enregistrement de vos diktats les plus ignobles !

Le samedi 27 décembre 2008, les Droits de l'Homme sont morts et enterrés sous le sable de Gaza.

Sachez en tout cas qu'Israël ayant allègrement violé les lois plus
élémentaires de la guerre, cela avec votre entière complicité, toutes les options
sont désormais ouvertes…

Raphaël Confiant

Ecrivain

Lundi 12 janvier 2009
MESSAGE D' AVAAZ: Assez c est assez!!!

Les forces terrestres israéliennes ont déjà gagné les villes de Gaza et de plus en plus de civils se font tuer : il est plus que temps d'en finir avec cette guerre. Avec plus de 300 000 signatures recueillies — dont les vôtres — pour exiger un cessez-le-feu, notre momentum s'accroît. Nous avons déjà contacté plusieurs leaders de la communauté internationale et des initiatives pour un cessez-le-feu commencent à émerger.

Mais cette violence est sans fin et les États-Unis bloquent effrontément un accord de cessez-le-feu juste et équitable aux Nations unies. Nous avons besoin de provoquer un véritable soulèvement, plus grand encore que le mouvement érigé jusqu'à présent, pour demander des rencontres en face-à-face et ainsi remettre la pétition en mains propres au Conseil de sécurité et publier une annonce dans un journal influent comme le Washington Post avant que Barack Obama ne prenne le pouvoir.

Plus nombreux nous serons à signer la campagne, plus fortes seront nos voix. Si vous ne l'avez pas déjà fait, nous vous serions très reconnaissants de prendre un peu de temps pour signer la pétition et faire suivre ce courriel à vos parents et amis et à tous ceux qui pourraient être intéressés par cette campagne Obtenir un demi-million de signatures cette semaine aurait un plus grand impact encore. Merci ! http://www.avaaz.org/fr/gaza_time_for_peace/

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Chers amis,

Le bain de sang de sang à Gaza continue de s'aggraver – le nombre de morts dépasse maintenant 600 et celui-ci continue d'augmenter. Presque la moitié des personnes tuées sont des civils et plus de 100 sont des enfants. Pendant que les chars d'assaut, l'artillerie et les avions israéliens bombardent des zones urbaines densément peuplées, incluant des écoles de l'ONU, les frontières sont bloquées. Des milliers de personnes de plus ont été blessées et un million et demi de civils terrifiés n'ont aucune possibilité de s'enfuir de cette enclave dont ils sont prisonniers. Le Hamas quant à lui continue de se battre et lance des tirs de roquette sur Israël, causant la mort de 11 Israéliens.

Notre appel à un cessez-le-feu garanti internationalement afin de protéger les civils des deux côtés a commencé à se faire entendre, gagnant ainsi l'appui de dirigeants en Europe, au Moyen-Orient et plus loin : les lignes directrices d'une entente sont en train d'émerger. Cependant, Israël rejette l'idée d'une trêve pour l'instant et continue son offensive, pendant que le président américain Bush bloque les négociations d'un cessez-le-feu par l'ONU , tentant d'imposer une alternative arbitraire légitimant l'isolement suffoquant de Gaza.

C'est assez : ces morts de civils ne peuvent continuer, et nous ne pouvons laisser Bush et ses alliés bloquer un cessez-le-feu juste et négocié. 250 000 d'entre nous ont signé la pétition demandant un cessez-le-feu, rendons-nous à un demi-million de signatures. Nous les publierons dans une annonce percutante dans le Washington Post et nous le remettrons à des membres du Conseil de sécurité de l'ONU pendant des réunions. Suivez le lien ci-dessous pour voir l'annonce, signer la pétition, et retransmettre ce message à tous vos amis et membres de votre famille :

http://www.avaaz.org/fr/gaza_time_for_peace/

Nos efforts peuvent vraiment faire une différence – le ministre de la Défense d'Israël lui-même admet que si la pression internationale devenait trop intense, il pourrait y avoir un cessez-le-feu. Or, pendant que la communauté internationale débat et discute, des civils meurent chaque jour. Le représentant officiel de l'ONU à Gaza a dit : « Aucun endroit n'est sécuritaire à Gaza. Tout le monde ici est terrorisé et traumatisé ». En opposition à une résolution de l'ONU, Bush propose apparemment d'exclure le Hamas de tout cessez-le-feu et de laisser Israël agir à sa guise, ce qui garantirait la poursuite de la violence. C'est pourquoi nous ciblons le Président-désigné Obama et des décideurs américains, en plus de dirigeants à l'UE et d'autres leaders mondiaux, pour trouver une résolution juste et stable.

Pour être durable, un cessez-le-feu doit protéger les civils et arrêter toutes les attaques, les bombardements et les incursions des Israéliens, autant que les tirs de roquettes que les Palestiniens tirent sur le sud d'Israël. Une supervision internationale est désespérément nécessaire aux frontières : Les postes frontaliers de Gaza doivent être rouverts afin de laisser passer les vivres, le combustible, les médicaments et les autres biens, la traite d'armes illégales doit être arrêtée et le cessez-le-feu doit être imposé des deux côtés.

Le Hamas, qui a gagné les élections en 2006 et qui dirige maintenant Gaza, a fait savoir qu'il pourrait accepter un cessez-le-feu[5]. Sa parole devra être respectée autant que celle d'Israël. Il n'y a pas de solution militaire à ce conflit, et c'est pourquoi il est temps que les pouvoirs mondiaux s'interposent pour protéger les civils et leur permettre de vivre en paix et en sécurité. Signez la pétition dès maintenant en suivant le lien ci-dessous et envoyez ce message à tous ceux que vous connaissez. Nous le publierons dans le Washington Post, entre autres, et tenterons d'obtenir des réunions en face-à-face pour remettre la pétition en mains propres à l'équipe d'Obama, au Conseil de sécurité et aux dirigeants européens :

http://www.avaaz.org/fr/gaza_time_for_peace/

Avec espoir et détermination,

Paul, Graziela, Ricken, Luis, Alice, Brett, Ben, Iain, Paula, Veronique, Milena et toute l'équipe d'Avaaz.

P.S. Pour un rapport concernant plusieurs des campagnes d'Avaaz jusqu'à maintenant, voir :
https://secure.avaaz.org/fr/report_back_2

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A PROPOS D'AVAAZ

Avaaz.org est une organisation non gouvernementale indépendante à but non lucratif, qui mène des campagnes mondiales pour faire en sorte que les opinions et les valeurs des peuples influent sur les décisions mondiales. (Avaaz signifie "voix" dans de nombreuses langues). Avaaz ne reçoit aucun financement d'aucun gouvernement ou entreprise. L'équipe d'Avaaz est basée à Londres, New-York, Paris, Washington, Genève, et Rio de Janeiro. +1 888 922 8229



Zelfs in de strijd tegen Hamas gelden er regels

D'UNE ONG BELGE Broederlijk Delen

januari 6, 2009

Na ruim een week van bombardementen die naar schatting al meer dan 500 Palestijnse doden eisten, begon het Israëlische leger zaterdagavond met een grondoperatie in de Gazastrook. Net als andere NGOs die in Gaza actief zijn, betreurt Broederlijk Delen deze escalatie van het geweld ten zeerste. Wij geloven niet dat de veiligheid van Israëlische burgers gegarandeerd kan worden door Palestijnse burgers massaal bloot te stellen aan extreem geweld. Daarenboven vrezen wij dat de strijdende partijen het tijdens de gevechten niet al te nauw zullen nemen met de regels van het internationaal humanitair recht of oorlogsrecht. Gezien de hoge bevolkingsdichtheid en de schaarste aan voedsel en medisch materiaal ten gevolge van Israëls draconische afsluitingsbeleid, is een ongeziene humanitaire catastrofe in de maak.


Bij de start van de grondoperatie verklaarde de woordvoerder van het Israëlische leger dat “diegenen die burgers, ouderlingen, vrouwen en kinderen als menselijke schilden gebruiken verantwoordelijk zijn voor alle schade aangericht aan de burgerbevolking. Eenieder die een terrorist of wapens in zijn huis verstopt, wordt als een terrorist beschouwd”. In het licht van de eerdere militaire operaties en gevechtsmethoden van het Israëlische leger, geven dergelijke uitspraken aanleiding tot ernstige bezorgdheid. Zo heeft het Israëlische leger sinds het uitbreken van de Tweede Intifada eind 2000 een groot aantal Palestijnse burgers gedood die niet direct aan de vijandelijkheden deelnamen. Ook de luchtaanvallen tijdens de voorbije week eisten een onaanvaarbaar hoge tol.

Het internationaal humanitair recht bepaalt dat de verantwoordelijkheid voor de bescherming van de burgerbevolking door de strijdende partijen gedeeld wordt, ongeacht de door de tegenstander gebruikte wapens of tactieken. Het gebruik van menselijke schilden – een tactiek die Palestijnse strijders in het verleden aangewend hebben – is een oorlogsmisdaad. Die illegale praktijk ontheft Israël echter niet van zijn verplichting om Palestijnse burgers te sparen. Zelfs wanneer Hamasstrijders zichzelf of hun wapens doelbewust tussen burgers zouden verschuilen, moet Israël het proportionaliteitsprincipe respecteren. De ene oorlogsmisdaad rechtvaardigt de andere immers niet.

Het proportionaliteitsprincipe bepaalt dat de fysieke en materiële schade aan burgers bij een aanval op een legitiem doelwit niet buitensporig mag zijn ten aanzien van het directe militaire voordeel van de aanval. Wanneer Palestijnse burgers gedood worden bij een Israëlisch bombardement volstaat als rechtvaardiging niet dat het doelwit een wapendepot of een Hamasstrijder was. Enkel wanneer het verlies van onschuldige mensenlevens in verhouding staat tot het rechtstreekse militaire nut van de aanval is die aanval wettig. Het hoge aantal burgerdoden en de berichten over een aantal specifieke operaties doen vermoeden dat Israël het proportionaliteitsprincipe in Gaza geregeld schendt. Zo werden zaterdag 15 Palestijnen gedood en meer dan 25 gewond bij een bombardement op een moskee in Beit Lahia.

Volgens het Israëlische leger is eenieder die een terrorist of wapens in zijn huis verbergt zelf een terrorist. Impliciet geeft het daarmee aan dat dergelijke personen legitieme doelwitten zijn. Die positie druist in tegen de rechtsregel dat burgers enkel mogen worden aangevallen wanneer ze rechtsreeks of actief aan de vijandelijkheden deelnemen. Zelfs het Israëlische Hooggerechtshof erkende dat zo’n twee jaar geleden. In de zaak van de zogenaamde ‘targeted killings’ bepaalde het dat het geven van algemene logistieke steun of voedsel aan ‘terroristen’ een directe aanval niet kan rechtvaardigen. Al was het maar omdat onmogelijk uitgemaakt kan worden of de burger in kwestie daartoe niet gedwongen wordt.

Bij het voeren van militaire operaties in Gaza hebben alle strijdende partijen de verplichting om voorzorgsmaatregelen te nemen ter bescherming van de burgerbevolking. Indien mogelijk moet voor iedere aanval de nodige waarschuwing gegeven worden. Volgens mediaberichten heeft Israël via pamfletten en het telefoonnetwerk reeds verschillende keren Palestijnse burgers aangemaand om bepaalde risicozones te evacueren. Het gevaar bestaat erin dat iedereen die in die zones verblijft na verloop van tijd als vogelvrij beschouwd zal worden, wat een schending is van het oorlogsrecht. Eerdere Israëlische operaties in de Palestijnse Gebieden en in Libanon hebben bewezen dat dit risico reëel is.

Hamas en de overige Palestijnse gewapende groepen zijn uiteraard óók gebonden door de regels van het internationaal humanitair recht. Hun doelbewuste raket- en mortieraanvallen op Israëlische burgers zijn oorlogsmisdaden. De Palestijnse gewapende groepen blijven tevens verantwoordelijk voor het welzijn van Gilad Shalit, de Israëlische soldaat die sinds juni 2006 gevangen gehouden wordt. Het oorlogsrecht verbiedt die groepen niet om hun defensieve militaire operaties in bebouwde zones te voeren. Het stelt wel dat zoveel mogelijk vermeden moet worden om militaire doelen in of nabij dichtbevolkte gebieden te plaatsen.

Isräel heeft het recht en de plicht om zijn burgers te beschermen. In de huidige discussies over zelfverdediging dreigt evenwel de helderheid van de regels van het oorlogsrecht op de achtergrond te verdwijnen. Ook Palestijnse burgers moeten ten allen tijde beschermd worden. Israël kan het niet maken om een bevolking van 1,5 miljoen mensen bloot te stellen aan extreem en disproportioneel geweld om de veiligheid van zijn eigen burgers te bekomen.

Hier belanden we bij de politieke dimensie van het huidige conflict. Hoe kunnen Israël en zijn bondgenoten zoals de Verenigde Staten, geloven dat dood en vernieling kunnen resulteren in veiligheid? Zoals de Amerikaanse econome Sara Roy schrijft ‘is het één zaak om een individu zijn land, huis en inkomen af te nemen, zijn eisen en emoties te negeren. Maar het is een andere zaak om zijn kind te doden. Er wordt gezegd dat Israël militaire doelwitten van Hamas viseert, maar leg dat verschil uit aan de mensen die hun kinderen begraven.’ Hoe kan er een perspectief zijn op verzoening en duurzame vrede in Israël en Palestina als Israël de Gazastrook tot ‘vijandige entiteit’ verklaart en heel de maatschappij, en ermee de hoop op vrede, ten gronde richt? Als Israël veiligheid wil creëren kan dat niet wars van het internationaal recht en het gezond verstand. Het moet de Palestijnen het perspectief geven op duurzame en rechtvaardige vrede, stoppen met zijn aanval tegen de Gazastrook en zijn kolonisatiepolitiek in de Westelijke Jordaanoever. Het respect voor het recht is de beste weg naar veiligheid.

Brigitte Herremans en Koen De Groof.
Opiniestuk verschenen in De Standaard van 6 januari 2009.

Monday, January 05, 2009


Un sans-abri meurt tous les jours en France

Au moins 330 sans-abri sont morts en 2008 en France, en moyenne, à l'âge de 49 ans. En réalité, beaucoup d'autres sont probablement morts dans des circonstances similaires, de froid, de maladie, de coups, par accident ou d'isolement, mais l'Etat se refuse à reconnaître l'ampleur du problème et à le mesurer. En partenariat avec le collectif Les morts de la rue, Mediapart a donc de décider de créer un observatoire, via une carte de France qui sera actualisée chaque semaine, et qui grâce aux informations que tout individu ou association lui enverra, permettra de prendre la mesure des mensonges par omission de l'Etat, et de l'interpeller sur l'incurie de ses politiques publiques.

En effet, la carte montre que des sans-abri meurent partout en France, et pas seulement en région parisienne. Mais faute de relais associatifs, la société ne dispose pas d'informations sur des agglomérations aussi importantes que Toulouse, Montpellier ou Clermont-Ferrand ou Nancy.

permettez moi d'attirer votre attention sur ce fait, sur la réalité de nos sociétés soit-disant civilisées... En fait, j'aimerais rendre hommage par cette page à tous ces individus, hommes et femmes, jeunes et moins jeunes, qui dans le froid de la nuit, volontaires,et sans aucune récompense financière vont au secours de ces gens démunis ,oubliant en quelque sorte leur propre confort. Je rougis de temps en temps non pas pour la terrible réalité qui se découvre au sein de nos villes, ou en une fraction de seconde des milliards d'Euros sont trouvés pour aller contre le fléau de la crise financière et qui en même temps laisse mourir ces gens dans les rues, mais plutôt pour les échos que je reçois personnellement de temps en temps ici en Agfrique face à mon travail au sein du Ministère de l'Education du Rwanda. Parfois les ami(e)s m'envoie des fleurs, m'offre des laurriers que je ne mérite pas. Le travail ici est dur parfois, et la pauvreté capte la personnalité toute entière, mais moi, je peux me ressourcer le soir en retrouvant me petite maison bien confortable, ou l'eau coule, où l' électricité ne se coupe pas trop souvent, où je retrouve un lit bien douillet et où le soleil, les fleurs et les sourires des personnes m'entourant égaient ma journée.
Les vrais héros sont ces hommes et ces femmes, qui se lancent au secours de ces personnes démunies. Eux n'ont pas de récompenses, ni de salaires tiers mondiste, ni de primes dangers, ni de belles maisons avec piscine, ou autres,.... leurs initiatives émanent de leur seul et propre volonté de subvenir aux besoins ignorés... Je reste émue et pleine d'admiration devant ces frères et ces soeurs, courageux et altruistes jusqu'aux bouts des doigts....

Sunday, January 04, 2009




IMPRESSIONS DE DAR ES SALAAM


Dar es salaam en quelques mots (histoire) :

Dar es-Salaam, autrefois Mzizima, est la plus grande ville , le centre économique, et l'ancienne capitale de la Tanzanie. En 1866 Sultan Seyyid Madjid de Zanzibar a donné le nom actuel du ville qui signifie en arabe Havre de la paix. Après la mort de Madjid en 1870, la ville décline jusqu'à l'établissemnent en 1887 d'un comptoir de la compagnie allemande de l'Afrique de l'est.
Quelques années après, les Allemands en firent la capitale de « l’Afrique de l’est allemande » (German East Africa). Ils perdirent leurs colonies, suite à leur défaite d la prmière guerre mondiale. Les Britanniques placèrent sous protectorat le territoire qu’ils renommèrent Tanganyka et gardèrent Dar comme capitale.
Dar Es Salaam a longtemps pâti de la notoriété des autres grandes villes d’Afrique de l’Est. Sur la côte, Zanzibar et Mombasa brillaient de leur histoire et de leur image de joyaux afro-orientaux. A l’intérieur, Nairobi se drapait de son statut de chef-lieu des colonies britanniques de la région ; Kampala (Uganda), bénéficiait du prestige de l’université Makerere où étaient formées les élites de la région.

Connaissez vous les peintures tinga tinga???

Dans les années 60, Edouard Tinga-Tinga lance à Dar Es Salam un style de peinture naîf mettant en scène des animaux. Après sa mort, son atelier devient une école de peinture et le "Tinga Tinga", un courant pictural naïf aujourd'hui reconnu.
Si on prend le temps de fouiller un peu, de discuter et d'aller un peu plus loin, on trouve quelques jolies pièces.